Nous sommes heureux d'accueillir le mardi 18 octobre à 19 heures la "lecture chorégraphique" proposée par la cie Coda Norma en présentation du spectacle Une femme normale-à-en-mourir, un texte de Jan Fabre, mise-en-scène de Fabio Ezechiele Forzini, interprété et dansé par Fabienne Larroque.
Cette pièce chorégraphique sera présentée au Théâtre du Pont Neuf du 25 au 29 octobre 2011.
Du Mardi au Jeudi à 19h30 et les Vendredi et Samedi à 21h.
Théâtre du Pont Neuf- 8 pl Arzac- 31300 Toulouse
Réservation: 05 61 21 51 78
Du Mardi au Jeudi à 19h30 et les Vendredi et Samedi à 21h.
Théâtre du Pont Neuf- 8 pl Arzac- 31300 Toulouse
Réservation: 05 61 21 51 78
" Mes pensées, moi je les appelle le goût des mots dans mon corps " (Jan Fabre) L'écriture de Jan Fabre est une parole créée pour être dite, une sorte de voix de l’humanité qui, ici, agit comme un miroir pour cette femme normale-à-en-mourir dans sa quête sur le devenir de l'homme.
A la base il y a le texte. Et la voix qui le porte, qui le déploie et vient l'incarner dans l'espace scénique, à la fois enrichie et contrainte par l'écriture du corps, dans une mise en scène de Fabio Ezechiele Forzini.
Il n'est pas question de musique figée dans une relation idéale à la chorégraphie ou au texte, mais d'un ensemble de propositions sonores qui, par l'intervention directe du musicien, François Donato accompagnent le parcours de la danseuse, Fabienne Larroque.
La scénographie de Christian Toullec, conçue comme une installation plastique, oscille entre un espace in-formel,abstrait et des éléments réalistes, reflets des modulations de l'espace intérieur du personnage.
Le texte s'incarne physiquement dans un faisceau de diffractions plastiques et sonores dont le corps est le point convergent .
Le spectacle est pensé en miroir du lieu où il est présenté; la démarche artistique est de vouloir jouer in situ cette pièce chorégraphique et répondre à des propositions hors cadre habituel de l’espace de représentation d’un spectacle. Ainsi ce matériau permet d'investir des scènes de théâtres mais aussi des espaces de diffusion autres, tels centres d'art, friches, milieux naturels.....
A la base il y a le texte. Et la voix qui le porte, qui le déploie et vient l'incarner dans l'espace scénique, à la fois enrichie et contrainte par l'écriture du corps, dans une mise en scène de Fabio Ezechiele Forzini.
Il n'est pas question de musique figée dans une relation idéale à la chorégraphie ou au texte, mais d'un ensemble de propositions sonores qui, par l'intervention directe du musicien, François Donato accompagnent le parcours de la danseuse, Fabienne Larroque.
La scénographie de Christian Toullec, conçue comme une installation plastique, oscille entre un espace in-formel,abstrait et des éléments réalistes, reflets des modulations de l'espace intérieur du personnage.
Le texte s'incarne physiquement dans un faisceau de diffractions plastiques et sonores dont le corps est le point convergent .
Le spectacle est pensé en miroir du lieu où il est présenté; la démarche artistique est de vouloir jouer in situ cette pièce chorégraphique et répondre à des propositions hors cadre habituel de l’espace de représentation d’un spectacle. Ainsi ce matériau permet d'investir des scènes de théâtres mais aussi des espaces de diffusion autres, tels centres d'art, friches, milieux naturels.....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire